Ah si j’étais resté célibataire
version André Verchuren marche
Ah Si j’é-tais res-té près de ma mè-è-re
Je n’au-rais pas con-nu tes yeux men-teurs
Ah Si j’é-tais res-té cé-li-ba-tai-ai-re
Tu n’au-rais pas pié-ti-né mon bon-heur
Tu es par-tie sans un a-dieu
Lais-sant mes rê-ves sur le feu
Et le lit tout dé-fait
Ou-vrant la por-te à mes re-grets
Ah Si j’é-tais res-té près de ma mè-è-re
Tu n’au-rais pas jou-é a-vec mon cœur
Toi tu m’a-vais dit
On s’ai-me-ra tou-jours
J’ai com-pris de-puis
Qu’ça vou-lait dire huit jours
M’cher-cher des ha-rengs
Tu es par-tie un soir
Ca fait bien-tôt dix ans
Que je t’at-tends en vif es-poir
Ah Si j’é-tais res-té près de ma mè-è-re
Je n’au-rais pas con-nu tes yeux men-teurs
Ah Si j’é-tais res-té cé-li-ba-tai-ai-re
Tu n’au-rais pas pié-ti-né mon bon-heur
Tu es par-tie sans un a-dieu
Lais-sant mes rê-ves sur le feu
Et le lit tout dé-fait
Ou-vrant la por-te à mes re-grets
Ah Si j’é-tais res-té près de ma mè-è-re
Tu n’au-rais pas jou-é a-vec mon cœur-Toi tu m’a-vais dit
On s’ai-me-ra tou-jours
J’ai com-pris de-puis
Qu’ça vou-lait dire huit jours
M’cher-cher des ha-rengs
Tu es par-tie un soir
Ca fait bien-tôt dix ans
Que je t’at-tends en vif es-poir
Ah Si j’é-tais res-té près de ma mè-è-re
Je n’au-rais pas con-nu tes yeux men-teurs
Ah Si j’é-tais res-té cé-li-ba-tai-ai-re
Tu n’au-rais pas pié-ti-né mon bon-heur