Allez savoir pourquoi
J. Boussol et P. Calvet chacha
U-ne chan-son, c’est peu de cho-se
Mais quand ça se po-se
Au creux d’une o-reil-le, ça res-te là,
Al-lez sa-voir pour-quoi
Ça n’est sou-vent qu’u-ne ren-gai-ne
Mais ça se pro-mè-ne sur les joies les pei-nes
Al-lez sa-voir, al-lez donc sa-voir pour-quoi.
Par-ce qu’un jour
Deux ou trois mots d’a-mour
Ont fleu-ri sous le toit
D’un en-fant du fau-bourg
Qui n’a-vait rien dans ses dix doigts
Qu’u-ne gui-tare en bois
Pour faire un grand bon-heur
Et quel-ques rimes au-tour
U-ne chan-son, c’est peu de cho-se
Mais quand ça se po-se
Au creux d’une o-reil-le, ça res-te là,
Al-lez sa-voir pour-quoi
Ça n’est sou-vent qu’u-ne ren-gai-ne
Mais ça se pro-mè-ne sur les joies les pei-nes
Al-lez sa-voir, al-lez donc sa-voir pour-quoi.
Par-ce qu’un jour
Un ti-ti de Pa-ris
La sif-flait à mi-di
En re-trou-vant Mi-mi
Et que Mi-mi est re-par-tie
La chan-ter à son tour
En tra-ver-sant la cour
À son tour et voi-là
U-ne chan-son, c’est peu de cho-se
Mais quand ça se po-se
Au creux d’une o-reil-le, ça res-te là,
Al-lez sa-voir pour-quoi
Ça n’est sou-vent qu’u-ne ren-gai-ne
Mais ça se pro-mè-ne sur les joies les pei-nes
Al-lez sa-voir, al-lez donc sa-voir pour-quoi.
Par-ce qu’un soir
Quand s’ins-tal-la l’a-mour
Au cœur d’un trou-ba-dour
Il per-dit le som-meil
Et dou-ce-ment, tout dou-ce-ment
Quand re-vint le so-leil
C’est un re-frain de plus
Qui a-vait vu le jour
U-ne chan-son, c’est peu de cho-se
Mais quand ça se po-se
Au creux d’une o-reil-le, ça res-te là,
Al-lez donc sa-voir pour-quoi-