Andalouse
Kendji Girac variété
Tu viens le soi-ar, dan-ser sur des airs de gui-tares,
Et puis tu bou-ouges, tes che-veux noirs, tes lè-vres rouges
Tu te ba-lan-ances, le res-te n’a pas d’im-por-tance
Comme un so-lei-eil tu me brûles et me ré-veilles
Tu as dans les yeu-eux, le sud et le feu
Je t’ai dans la peau-eau
Bai-la, bai-la oh!
Toi toi ma belle An-da-louse, au-ssi bel-le que ja-louse
Quand tu danses le temps s’ar-rête, je perd le nord, je perd la tête
Toi ma belle Es-pa-gnole, quand tu bou-ges tes é-paules
Je n’vois plus le monde au-tour, c’est peut-ê-tre ça l’a-mour.
Des airs d’o-rien-ent, le sou-rire et le cœur brû-lant
Re-gard é-bè-ène, que j’aime te voir bou-ger comme une reine
Ton corps on-du-ule, dé-jà mes pen-sées se bous-culent
Comme la lu-miè-ère, il n’y’a que toi qui m’é-claire
Tu as dans la voi-oix le jour et le froid
Je t’ai dans la peau-eau
Bai-la, bai-la oh!
Toi toi ma belle An-da-louse, au-ssi bel-le que ja-louse
Quand tu danses le temps s’ar-rête, je perd le nord, je perd la tête
Toi ma belle Es-pa-gnole, quand tu bou-ges tes é-paules
Je n’vois plus le monde au-tour, c’est peut-ê-tre ça l’a-mour.
Oh yé hé yé hi yé oh oh oh oh
Oh yé hé yé hi yé hé hé hé oh oh
Oh yé hé yé hi yé oh oh belle an-da-lou-ouse
Oh yé hé yé hi yé hé hé hé oh oh
Dos tres Toi toi ma belle An-da-louse, au-ssi bel-le que ja-louse
Quand tu danses le temps s’ar-rête, je perd le nord, je perd la tête
Toi ma belle Es-pa-gnole, quand tu bou-ges tes é-paules
Je n’vois plus le monde au-tour, c’est peut-ê-tre ça l’a-mour.
Toi ma belle An-da-louse, au-ssi bel-le que ja-louse
Quand tu danses le temps s’ar-rête, je perd le nord, je perd la tête
Toi ma belle Es-pa-gnole, quand tu bou-ges tes é-paules
Je n’vois plus le monde au-tour, c’est peut-ê-tre ça l’a-mour.-