Beau papa

Vianney Bureau variété

J’a-vais pas pré-vu
D’un jour a-dop-ter
Mon en-fant j’ai dû
Sur-tout m’a-dap-ter.
Y’a pas que les gènes
Qui font les fa-milles
Des hu-mains qui s’aiment suf-fi-sent.

Et si l’a-verse nous tou-che, toi et moi,
On la tra-verse à deux, à trois.
Et si l’a-verse nous tou-che, toi et moi-oi-oi:
Prends ma main de beau-pa-pa.

J’t’at-ten-dais pas.
J’te lais-s’rai pas!
Mê-me sans l’même sang
On s’ai-ai-m’ra!!

Non, je ne vo-le-rai ja-mais la place du pre-mier qui t’a dit: « je t’ai-me ».
Sur ton vi-sage, on voit son vi-sage. et c’est ain-si que tu es belle.

De vous à moi, c’est moi, j’a-voue, qui me suis in-vi-té
Dans sa vie, là, dans la vie où elle n’a rien de-man-dé.

Et si l’a-verse nous tou-che, toi et moi,
On la tra-verse à deux, à trois.
Et si l’a-verse nous tou-che, toi et moi-oi-oi:
Prends ma main de beau-pa-pa.

J’t’at-ten-dais pas.
J’te lais-s’rai pas!

Mê-me sans l’même sang, on s’ai-ai-m’ra!
On s’ai-m’ra!

J’a-vais pas pré-vu
D’un jour a-dop-ter.
En vé-ri-té nue,
C’est toi qui l’as fait.
Y’a pas que les gè-ènes
Qui font les fa-milles
Du mo-ment qu’on s’aime.

Et si l’a-verse nous tou-che, toi et moi,
On la tra-verse à deux, à trois.
Et si l’a-verse nous tou-che, toi et moi-oi-oi:
Prends ma main hé dis prends la-a-a

J’t’at-ten-dais pas.
J’te lais-s’rai pa-a-as!

Mê-me sans l’même sang, on s’ai-ai-m’ra-a-a!
Mê-me sans l’même sang, on s’ai-ai-m’ra!-