Domino

Louis Ferrari valse

Do-mi-no, Do-mi-no
Le prin-temps chante en moi,
Do-mi-ni-que
Le so-leil s’est fait beau,
J’ai le coeur comme un’ boite à mu-si-que,

J’ai be-soin de toi,
De tes mains sur moi,
De ton corps doux et chaud,
J’ai en-vie d’être ai-mée Do-mi-no

Mé-fie-toi, mon a-mour, je t’ai trop par-don-né
J’ai per-du plus de nuits que tu m’en as don-nées,
Bien plus d’heu-res à t’at-ten-dre,
Qu’à te pren-dre sur mon coeur,

Il se peut qu’à mon tour je te fas-se du mal,
Tu m’en as fait toi-même et ça t’est bien é-gal,
Tu t’a-mu-ses des mes pei-nes,
Et je m’u-se de t’ai-mer.

Do-mi-no, Do-mi-no
Le prin-temps chante en moi,
Do-mi-ni-que
Le so-leil s’est fait beau,
J’ai le coeur comme un’ boite à mu-si-que,

J’ai be-soin de toi,
De tes mains sur moi,
De ton corps doux et chaud,
J’ai en-vie d’être ai-mée Do-mi-no

Il est u-ne pen-sée que je ne souf-fre pas
C’est qu’on puis-se me pren-dre ma place en tes bras,
Je sup-por-te bien des cho-ses,
Mais à for-ce c’en est trop…

Et qu’une autre ait l’i-dée de me vo-ler mon bien,
Je ne don-ne pas cher de ses jours et des tiens
Je re-gar-de qui t’en-tou-re.
Prends bien gar-de mon a-mour

Do-mi-no, Do-mi-no
J’ai bien tort de me mettre en co-lè-re
A-vec toi, Do-mi-no,
Je sais trop qu’il n’y a rien à fai-re

T’as le coeur lé-ger,
Tu ne peux chan-ger,
Mais je t’aime, que veux-tu?
Je ne peux pas chan-ger moi non plus

Do-mi-no, Do-mi-no,
Je par-don-ne tou-jours mais re-viens
Do-mi-no, Do-mi-no
Et je ne te di-rai plus rien.-