Gigi l’amoroso
Dalida (sans parties non chantées) tarentelle
Je vais vous ra-con-ter
A-vant de vous quit-ter
L´his-toire d´un p´tit vil-lage près de Na-po-li
Nous é-tions quatre a-mis
Au bal tous les sa-m’dis
A jou-er, à chan-ter tou-te la nuit
Gior-gio à la gui-tare
San-dro à la man-do-line
Moi je dan-sais en frap-pant du tam-bou-rin
Mais tous ceux qui ve-naient
C´é-tait pour é-cou-ter
Ce-lui qui fai-sait bat-tre tous les cœurs
Et quand il ar-ri-vait
La fou-le s´é-cri-ait
Ar-ri-va, Gi-gi l´A-mo-ro-so
Cro-queur d´a-mour, l´œil de ve-lours comme une ca-res-se
Gi-gi l´A-mo-ro-so
Tou-jours vain-queur, par-fois sans cœur
Mais ja-mais sans ten-dres-se
Par-tout, c´é-tait la fête quand il chan-tait
Za-za, lu-na ca-prese, o so-le mi-o
Une riche A-mé-ri-caine
A grands coups de « je t´aime »
Lui pro-po-sa d´al-ler jus-qu´à Hol-ly-wood
Tu se-ras le plus beau
De tous les Ca-ru-sos
Lui di-sait-elle jus-qu´à en perdre ha-leine
Nous voi-là à la gare
A-vec tous nos mou-choirs
Le cœur ser-ré, é-mus par ce grand dé-part
Pour-tant on é-tait fier
Qu´il dé-passe nos fron-tières
Gi-gi par-tait con-qué-rir l´A-mé-rique
Et quand il ar-ri-va
Le vil-lage é-tait là
Ar-ri-va, Gi-gi l´A-mo-ro-so
Cro-queur d´a-mour, l´œil de ve-lours comme une ca-res-se
Gi-gi l´A-mo-ro-so
Tou-jours vain-queur, par-fois sans cœur
Mais ja-mais sans ten-dres-se
Et là, de-vant la foule, il a chan-té
Zaz-a, lu-na ca-prese, o so-le mi-o
Les an-nées ont pas-sé
Cinq hi-vers, cinq é-tés
No news, c’é-tait good news
Comme ils nous di-saient
Il a fal-lu du cran
Du cou-rage et du temps
Pour ar-ri-ver à con-ti-nuer sans lui
Et mal-gré son a-bsence
La nuit dans le si-lence
Ou-bli-ant nos cos-tumes et nos ins-tru-ments
On en-ten-dait ve-nir
Comme une larme un sou-pir
Du fond de la sal-le cette mé-lo-die Ar-ri-va, Gi-gi l´A-mo-ro-so
Cro-queur d´a-mour, l´œil de ve-lours comme une ca-res-se
Gi-gi l´A-mo-ro-so
Tou-jours vain-queur, par-fois sans cœur
Mais ja-mais sans ten-dres-se
Par-tout, c´é-tait la fête quand il chan-tait
Za-za, lu-na ca-prese, o so-le mi-o
Ar-ri-va, Gi-gi l´A-mo-ro-so
Cro-queur d´a-mour, l´œil de ve-lours comme une ca-res-se
Gi-gi l´A-mo-ro-so
Tou-jours vain-queur, par-fois sans cœur
Mais ja-mais sans ten-dres-se
Par-tout, c´é-tait la fête quand il chan-tait
Za-za, lu-na ca-prese, o so-le mi-o
Ar-ri-va, Gi-gi l´A-mo-ro-so