Je n’aime que vous
Santa Rosa marche
Il y’a des hom-mes
Qui pour vous é-pa-ter
Ont dans la tê-te
De pe-ti-tes i-dées
Mais tous les au-tres
N’ont ja-mais rien com-pris
Com-me cet au-tre
Qui plein d’es-poir m’a dit
Je n’ai-me je n’ai-me que vous
Ma vi-e ma vi-e c’est vous
J’i-rai oui j’i-rai n’im-porte où
Je dis et bien ren-trez chez vous en-tre nous
C’est pas de chan-ce
Si-tôt dé-bar-ras-sée
Ça re-com-men-ce
Le temps de res-pi-rer
On vou-drait croi-re
Que l’on va me sé-duire
Mais sans his-toi-re
On vient en-core nous dire
Je n’ai-me je n’ai-me que vous
Ma vi-e ma vi-e c’est vous
Je rê-ve je rê-ve de vous
Je dis et bien rré-veil-lez-vous en-tre nous
Et nous les fil-les
L’a-mour faut le trou-ver
C’est dans la vi-e
Quand il faut pa-tien-ter
Ce s’rait fa-ci-le
Si l’on pou-vait par-fois
Sor-tir tran-quil-le
Sans en-ten-dre cent fois
Je n’ai-me je n’ai-me que vous
Ma vi-e ma vi-e c’est vous
J’i-rai sur la lu-ne pour vous
Je dis et bien qu’at-ten-dez-vous en-tre nous
Et oui quand mê-me
Un jour je l’ai trou-vé
De-puis des s’mai-nes
Je le vo-yais pas-ser
J’ai dù at-ten-dre
Pour-tant il a o-sé
D’un air très ten-dre
Ve-nir me ba-fouil-ler
Je n’ai-me je n’ai-me que vous
Ma vi-e ma vi-e c’est vous
Je suis non je n’suis rien sans vous
Je dis je se-rais très heu-reuse a-vec vous
La la la la la la la la
La la la la la la la la
La la la la la la la la
La la la la la la la la-