Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai
version Amandine Bourgeois slow
Mon en-fant nue sur les ga-lets, le vent dans tes che-veux dé-faits
Comme un prin-temps sur mon tra-jet, un dia-mant tom-bé d’un cof-fret
Seu-le la lu-miè-re pour-rait dé-fai-re nos re-pères se-crets
Où mes doigts pris sur tes poi-gnets
Je t’ai-mais, je t’aime et je t’ai-me-rai.
Et quoi que tu fasses, l’a-mour est par-tout où tu re-gardes
Dans les moin-dres re-coins de l’es-pace
Dans le moin-dre rêve où tu t’at-tardes.
L’a-mour comme s’il en pleu-vait, nu sur les ga-lets.
Le ciel pré-tend qu’il te con-naît, il est si beau, c’est sûre-ment vrai.
Lui qui ne s’ap-pro-che ja-mais, je l’ai vu pris dans tes fi-lets.
Le monde a telle-ment de re-grets, telle-ment de cho-ses qu’on pro-met.
Une seule pour la-quelle je suis fait
Je t’ai-mais, je t’aime et je t’ai-me-rai.
Et quoi que tu fasses, l’a-mour est par-tout où tu re-gardes
Dans les moin-dres re-coins de l’es-pace
Dans le moin-dre rêve où tu t’at-tardes
L’a-mour comme s’il en pleu-vait, nu sur les ga-lets.
Hé hé hé
Hé hé hé hé hé hé
Ha ha ha ha ha
Hou hou hou
On s’en-vo-le-ra du même quai, les yeux dans les mê-mes re-flets.
Pour cet-te vie et cel-le d’a-près, tu se-ras mon u-ni-que pro-jet.
Je m’en i-rai po-ser tes por-traits à tous les pla-fonds de tous les pa-lais hè hè
Sur tous les murs que je trou-v’rai et juste en des-sous, j’é-cri-rai
Que seu-le la lu-miè-re pour-rait…
Hé hé hé hé hé hé hé hé
Et mes doigts pris sur tes poi-gnets
Je t’ai-mais, je t’aime et je t’ai-me-rai.
Ha ha ha ha ha ha
Et mes doigts pris sur tes poi-gnets
Je t’ai-mais, je t’aime et je t’ai-me-rai.-