La valse mexicaine
Luis Mariano fandango
Un soir à Me-xi-co
Pour les yeux d´u-ne bel-le
Cet-te valse é-ter-nel-le
Na-quit sur un ban-jo
Un po-ète é-cri-vit
Des pa-ro-les sans pei-ne
Elle de-vint si jo-li-ie
La val-se me-xi-cai-ne
Que la belle eut en-vie
De fai-re des fre-dai-nes
Car elle est si jo-li-ie
La val-se me-xi-cai-ne
Elle s´en-vo-la bien-tôt
Comme un oi-seau vo-la-ge
De vil-lage en vil-la-ge
Fai-sant dire aus-si-tôt
C´est u-ne mé-lo-die
U-ne sim-ple ren-gai-ne
Mais elle est si jo-li-ie
La val-se me-xi-cai-ne
Qu´a-vec elle on ou-blie
Nos sou-cis et nos pei-nes
Car elle est si jo-li-ie
La va-lse me-xi-cai-ne
Pour-sui-vant son che-min
Aux qua-tre coins du mon-de
La chan-son va-ga-bon-de
D´un gen-til mu-si-cien
De-vint la seule a-mie
Des a-mours in-cer-tai-nes
Car elle est si jo-li-ie
La val-se me-xi-cai-ne
Qu´en un vent de fo-lie
Son ryth-me vous en-traî-ne
Car elle est si jo-li-ie
La val-se me-xi-cai-ne-