Le jour s’est levé
Téléphone slow
Le jour s’est le-vé
Sur une é-trange i-dée
Je crois que j’ai rê-vé-é-é
Que ce soir je mour-rais
Le jour s’est le-vé
Plein de per-ple-xi-té
Si c’n’é-tait pas un rê-ê-ve
Qu’il faille s’en al-ler
S’en al-ler-er-er
Comme le jour a-van-çait
En moi je pen-sais
Si c’n’é-tait pas un rê-ê-êve
J’ai tout à ai-mer
Quand le jour s’est cou-ché
J’ai ré-a-li-sé
Que c’n’é-tait qu’une trê-ê-ê-êve
Dans ma ré-a-li-té
Nous sommes i-ci pour croire
Rien d’autre à lais-ser croire
Croire que l’on meurt ce soi-oir
Pour qui veut bien voir
Le voile est est le-vé-é
Sur ma pau-au-vre-té
Qu’ai-je donc à gar-der-er
Qui ne se-ra souf-flé
Oui, le voile est est le-vé
Tout est si co-o-lo-ré
Qu’ai-je donc à don-ner-er-er
Que la nuit m’a souf-flé
Nous sommes i-ci pour croire
Rien d’autre à lais-ser croire
Croire que l’on meurt ce soir-oir
Et qu’il est dé-jà ta-ard
Dé-jà tard
Mais pas trop tard
A toi de voir
A toi de croire
o-o-o o-o-o o-o-o o-o-o
Le jour s’est le-vé
Sur cette é-trange i-dée
La vie n’est qu’une jour-né-ée
Et la mort qu’u-ne nuit
La vie n’est a-jour-né-ée
Que si la mort lui nuit