Les feuilles mortes
version Michel Jonasz piano/bar
Oh, je vou-dais tant que tu te sou-vien-nes
Des jours heu-reux où nous é-tions a-mis
En ce temps-là la vie é-tait plus belle
Et le so-leil plus brû-lant qu’au-jour-d’hui
Les feuil-les mortes se ra-massent à la pelle
Tu vois, je n’ai pas ou-bli-é
Les feuil-les mortes se ra-massent à la pelle
Les sou-ve-nirs et les re-grets aus-si
Et le vent du Nord les em-porte,
Dans la nuit froi-de de l’ou-bli
Tu vois je n’ai pas ou-bli-é,
La chan-son que tu me chan-tais
C’est une chan-son qui nous res-semble,
Toi tu m’ai-mais, moi je t’ai-mais
Et nous vi-vions, tous deux en-semble,
Toi qui m’ai-mais, moi qui t’ai-mais
Mais la vie sé-pare ceux qui s’aiment,
Tout dou-ce-ment, sans faire de bruit
Et la mer ef-fa-ce sur le sable
Les pas des a-man-ants dé-su-nis
C’est une chan-son qui nous res-semble,
Toi qui m’ai-mais, moi qui t’ai-mais
Et nous vi-vions tous deux en-semble,
Toi tu m’ai-mais, et je t’ai-mais
Mais la vie sé-pare ceux qui s’aiment,
Tout dou-ce-ment, sans faire de bruit
Et la mer ef-fa-ce sur le sable
Les pas des a-man-ants dé-su-nis-