L’espoir
Bernard Lavillier Jeanne Cherhal slow
Sur la noir-ceur du so-leil,
Sur le sa-ble des ma-rées
Sur le cal-me du som-meil
Sur mon a-mour re-trou-vé
Le so-leil se lève aus-si
Et plus forte est sa cha-leur
Plus la vie croit en la vie
Plus s’ef-fa-ce la dou-leur
Pour ces se-mai-nes très noires,
Pour ces belles as-sas-si-nées
Pour re-trou-ver la mé-moire
Pour ne ja-mais ou-bli-er
Il faut te le-ver aus-si
Il faut chas-ser le ma-lheur
Tu sais que par-fois la vie
A con-nu d’au-tre cou-leurs
Et si l’es-poir re-ve-nait
Tu n’me croi-ras ja-mais
Dans le se-cret, dans l’a-mour fou
De toutes tes forces
Va jus-qu’au bout
Et si l’es-poir re-ve-nait
Sur mes doutes et ma co-lère
Sur les na-tions dé-chai-nées…
Sur ta beau-té au ré-veil
Sur mon cal-me re-trou-vé…
Le so-leil se lève aus-si
J’at-ten-dais cet-te lu-mière
Pour me sor-tir de la nuit
Pour ou-bli-er cet en-fer…
Pour voir ce sou-rire d’en-fant
Pour ses ca-hiers dé-chi-rés
Pour en-fin que les a-mants
N’aient plus peur de s’en-la-cer…
Le so-leil se lève aus-si
Le so-leil se lève aus-si. Le so-leil
Et si l’es-poir re-ve-nait
Tu n’me croi-ras ja-mais
Dans le se-cret, dans l’a-mour fou
De toutes tes forces
Va jus-qu’au bout
Et si l’es-poir re-ve-nait
Pour la noir-ceur du so-leil
Sur le sa-ble des ma-rées
Pour ta beau-té au ré-veil
Pour mon cal-me re-trou-vé
Et si l’es-poir re-ve-nait
Tu n’me croi-ras ja-mais
Dans le se-cret, dans l’a-mour fou
De toutes tes forces
Va jus-qu’au bout
Et si l’es-poir re-ve-nait