Madrid Madrid
Nilda Fernandez slow
Une ta-che d’ombre et dans le dé-sert
Des traces de poudre et de sa-fran
Des ta-xis blancs, des cla-que-ments de por-tières
Un vrai mé-lange de sen-ti-ments
Ma-drid, Ma-drid
Le prix que je paie
C’est en-core quel-ques heures sans som-meil
Pour me sou-ve-nir de toi
Puer-ta del Sol sta-tion du mé-tro
Sor-tie vers la Pla-za Ma-yor
Je suis à l’heure je crois même que j’en fais trop
Une vraie dou-blure dans un dé-cor
Ma-drid, Ma-drid
Tu peux me faire signe
Tu peux brouil-ler mes mots sur la ligne
Quand je par-le-rai de toi
Bon-soir y bue-nos días
et jus-qu’au der-nier dé-tail
Mi-roir si’has de ser mí’espía
ses yeux der-rière un é-ven-tail
Ma-drid, Ma-drid
Les choses que je pense
Ont un petit air d’ac-cor-dé-on rance
Quand elle n’est pas a-vec moi
Ma-drid, Ma-drid
Le prix que je paie
C’est en-core quel-ques heures sans som-meil
Pour me sou-ve-nir de toi
U-na tar-de en el Re-ti-ro
E-chan-do pie-dras’a un fa-rol
Els meus a-mors se’han der-re-ti-do
Con tan-ta luz’y tan-to sol
Ma-drid, Ma-drid
Me pon-go tris-te
Al ver lo bien que tu te vis-tes
Si se han a reir de ti
Bon-soir y bue-nos días
et jus-qu’au der-nier dé-tail
Mi-roir si’has de ser mí’espía
ses yeux der-rière un é-ven-tail
Une ta-che d’ombre et dans le dé-sert
Des traces de poudre et de sa-fran
Des ta-xis blancs, des claqu’-ments de por-tières
Un vrai mé-lange de sen-ti-ments
Ma-drid, Ma-drid
Me de-ses-pe-ras
De tan-to mo-ver las ca-de-ras
Sa van a re-ir de ti-