Maria

Sandro slow

J’ai-me te pren-dre la main
Pour faire un bout de che-min
En re-ve-nant de l’é-co-le

J’ai-me te cueil-lir des fleurs
Que je t’offre a-vec le cœur
En te chan-tant les pa-ro-les

De cet-te chan-son d’é-té
Qu’en-semble on en-tend chan-ter
Pour nos der-niè-res va-can-ces

Ton sou-rir me fait rê-ver
Tes yeux m’ont é-mer-veil-lés
Et c’est à toi que je pen-se

Ma-ri-a, Ma-ri-a oh Ma-ri-a-a-a
Tu se-ras tou-jours mon seul a-mour d’en-fan-an-an-ce
Ma-ri-a, Ma-ri-a oh Ma-ri-a-a-a
On s’est pro-mis d’ê-tre pour la vie en-sem-em-em-ble

J’ai gar-dé con-tre mon coeur
Cet-te pho-to en cou-leur
Que je t’ai pris sur la pla-ge

Tu as tou-jours ce col-lier
Qu’un ma-tin je t’ai don-né
Quand on jou-ait ce le sa-ble

De-puis plus rien a chan-gé
Comm’ dans un con-te de fée
Je ne vois que ton vi-sa-ge

Tu es dans tou-tes mes pen-sées
Et j’at-ten-drai des an-nées
Pour te ser-rer très fort con-tre moi

Ma-ri-a, Ma-ri-a oh Ma-ri-a-a-a
Tu se-ras tou-jours mon seul a-mour d’en-fan-an-an-ce
Ma-ri-a, Ma-ri-a oh Ma-ri-a-a-a
On s’est pro-mis d’ê-tre pour la vie en-sem-ble-e-e

Tu se-ras tou-jours mon seul a-mour d’en-fan-ce

Tu se-ras tou-jours mon seul a-mour d’en-fan-ce-