Nuit de chine
Louis Bénech et Ernest Dumont version fox-trot
Quand le so-leil des-cend à l’ho-ri-zon à Sa-ï-gon
Les é-lé-gan-tes s’ap-prêtent et s’en vont de leurs mai-sons
A pe-tits pas à pe-tits cris
Au mi-lieu des jar-dins fleu-ris
Où vo-lent les oi-seaux jo-lis du pa-ra-dis
Ten-dre-ment en-la-cés
Se gri-sant de bai-sers
Les a-mants deux par deux
Cher-chent les coins om-breux
Nuits de Chi-ne nuits câ-li-nes nuits d’a-mour
Nuits d’i-vres-se de ten-dres-se
Où l’on croit rê-ver jus-qu’au le-ver du jour
Nuits de Chi-ne nuits câ-li-nes nuits d’a-mour
Mous-mée jo-lie dont mon cœur est é-pris
Je veux l’ou-bli
Puis-que de toi mon a-mour in-fi-ni
Reste in-com-pris
L’o-pium en-dort les mal-heu-reux
Et les em-por-te jusqu-aux cieux
Dans un nu-a-ge mer-veil-leux
De fu-mée bleue
Dans le soir qui s’en-fuit
Loin des chants loin du bruit
Sur la natte en-dor-mi
Le beau rêve a re-pris
Nuits de Chi-ne nuits câ-li-nes nuits d’a-mour
Nuits d’i-vres-se de ten-dres-se
Où l’on croit rê-ver jus-qu’au le-ver du jour
Nuits de Chi-ne nuits câ-li-nes nuits d’a-mour-
Nuits de Chi-ne nuits câ-li-nes nuits d’a-mour
Nuits d’i-vres-se de ten-dres-se
Où l’on croit rê-ver jus-qu’au le-ver du jour
Nuits de Chi-ne nuits câ-li-nes nuits d’a-mour-