Oh lala lily
David Martial ambiance
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Elle est fa-ti-guée si-tôt qu’elle se lève
Ne sup-por-te pas l’i-dée du tra-vail
La moin-dre pen-sée lui don-ne la fièvre
Et au moin-dre pas ses jam-bes dé-faillent
Et son pre-mier jour elle a sou-pi-rée
Au lieu de cri-er comme tous les bam-bins
Mais cu-rieu-se-ment quand on la tou-chée
Par son grand père Si-mone c’est sen-ti bien
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
La san-té qu’elle a
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
L’ap-pé-tit qu’elle a
Li-ly n’a ja-mais ja-mais sup-por-té
D’ha-bit sur le dos a-lors elle vit nue
Elle dit que sa mère en fem-me sen-sée
La faite au do-do et qu’elle con-ti-nue
Elle reste al-li-té sous les a-li-zés
Elle s’est trop pi-quée à l’air tro-pi-cal
Elle a u-ne pas-sion pour les mots croi-sés
Mais elle ne rem-pli que l’ho-ri-zon-tal
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
La san-té qu’elle a
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
L’ap-pé-tit qu’elle a
Elle pou-rait don-ner son â-me à Marc
Et sa beau-té aux sa-bles brû-lants
Comme elle est de plus en plus in-som-niaque
Pour se ra-tra-per sa sies-te l’a-at-tend
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
La san-té qu’elle a
Elle ai-me chan-ter elle ai-me dan-ser
Elle ai-me les fous qui rêvent en plein jour
Elle n’a ja-mais pris le temps de pen-ser
Qu’à ri-re de tout et à faire l’a-mour
Et moi je crois bien que c’est con-ta-gieux
Je sens le vi-rus dé-jà me ron-ger
Nous al-lons res-ter au lit tous les deux
Et pour vivre heu-reux nous vi-vrons ca-chés
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
La san-té qu’elle a
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
L’ap-pé-tit qu’elle a
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
La san-té qu’elle a
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
Au lit oh là là
Oh là là li-ly
Au lit oh là là