Oui Jérôme c’est moi
C. Jerôme variété
Tiens, bon-jour, sa-lut, dis-moi com-ment tu vas
De-puis le temps que l’on ne s’est pas vu
Tu sais, crois-moi je ne t’at-ten-dais plus
Comme c’est drôle tu vois de se ren-con-trer là
Je dois t’a-vouer qu’ il m’ar-rivait par-fois
Tout seul le soir de re-pen-ser à toi
Oui, Jé-rome, c’est moi, non je n’ai pas chan-gé
Je suis tou-jours ce-lui qui t’a ai-mé
Qui t’em-bras-sait et te fai-sait pleu-rer
Tiens, tu vois, re-garde, tu vas être é-ton-née
Mais j’ai gar-dé en sou-ve-nir de toi
U-ne pho-to que tu m’a-vais don-née
Oui, Jé-rome, c’est moi, non je n’ai pas chan-gé
Je suis tou-jours ce-lui qui t’a ai-mé
Qui te par-lait sans ja-mais t’é-cou-ter
Tiens, c’est vrai, le jour de ton an-ni-ver-saire
Je m’en sou-viens comme si c’é-tait hi-er
J’al-lais chez toi t’ap-por-ter du li-las
Dis, é-coute ce disque, il n’est pas dé-mo-dé
C’é-tait je crois ta chan-son pré-fé-rée
Tu sais je l’ai bien sou-vent é-cou-tée
Oui, Jé-rome, c’est moi, non je n’ai pas chan-gé
Je suis tou-jours ce-lui qui t’a ai-mé
Qui t’em-bras-sait et te fai-sait pleu-rer
Oui, Jé-rome, c’est moi, non je n’ai pas chan-gé
Je suis tou-jours ce-lui qui t’a ai-mé
Qui te par-lait sans ja-mais t’é-cou-ter
Oui, Jé-rome, c’est moi, non je n’ai pas chan-gé
Je suis tou-jours ce-lui qui t’a ai-mé
Qui t’em-bras-sait et te fai-sait pleu-rer-