Pull over blanc
Graziella de Michel variété
Il y’a long-temps dé-jà qu’elle n’est plus là
Je n’peux même plus comp-ter les an-nées sur mes doigts
Elle a-vait des airs de pe-tite fille
Nous l’ai-mions tous presque au-tant que toi
Et tu cherches à com-prendre
Ça sert à rien tu perds ton temps
Elle é-tait belle et tendre
Tu l’ai-mais dans son vieux pul-lo-ver blanc
Sans rien t’ex-pli-quer elle est par-tie
Elle t’a lais-sé seul dans les draps sa-lis
Par a-mour elle t’a-vait dit
Qu’elle trou-vait qu’la der-nière nuit
C’é-tait la plus jo-lie
Et tu cherches à com-prendre
Ça sert à rien tu perds ton temps
Elle é-tait belle et tendre
Tu l’ai-mais dans son vieux pul-lo-ver blanc
Dans la nuit d’un der-nier hi-ver
Le sou-ve-nir de ses yeux clairs
Il y’a trop long-temps que c’est fi-ni
Et tu te bats con-tre l’ou-bli
Et tu cherches à com-prendre
Ça sert à rien tu perds ton temps
Elle é-tait belle et tendre
Tu l’ai-mais dans son vieux pul-lo-ver blanc
Et tu cherches à com-prendre
Ça sert à rien tu perds ton temps
Elle é-tait belle et tendre
Tu l’ai-mais dans son vieux pul-lo-ver blanc
Et tu cherches à com-prendre
Ça sert à rien tu perds ton temps
Elle é-tait belle et tendre
Tu l’ai-mais dans son vieux pul-lo-ver blanc-