Quand Mario chantait
Franck Fernandel slow
Quand Ma-rio chan-tait dans un ca-fé tout à cô-té de No-tre-Da-me
Quand Ma-rio chan-tait ses chan-sons fai-sait ré-ver à des va-can-ces
Comme un trou-ba-dour il nous par-lait beau-coup d’a-mour et de vo-ya-ges
Comme un ma-gi-cien qui au-rait in-ven-té pour nous la mer le ciel le sa-ble fin et les oi-seaux
Quand Ma-rio chan-tait c’é-tait le ciel et les ro-chers sous les é-toi-les
Quand Ma-rio chan-tait c’é-tait le par-fum des bai-sers de nos va-can-ces
C’é-tait la cou-leur des yeux des fil-les de l’é-té
C’é-tait le mis-tral qui nous fai-sait nous ba-lan-cer
Sur le ba-teau blanc ce-lui de nos rê-ves d’en-fant si loin
Quand Ma-rio chan-tait c’é-tait le ciel la mer l’é-té et les va-can-ces
Quand Ma-rio chan-tait l’air de Pa-ris n’é-tait plus gris mais plein d’é-toi-les
Comme un trou-ba-dour il nous par-lait beau-coup d’a-mour et de vo-ya-ges
Comme un ma-gi-cien qui au-rait in-ven-té pour nous la mer le ciel le sa-ble fin et les oi-seaux
Mais si il est par-ti de ce ca-fé tout à cô-té de No-tre Da-me
Mais il est al-lé près des an-ges du pa-ra-dis près des é-toi-les
Seul sous la pluie mar-chant dans les rues de Pa-ris
J’en-tends Ma-ri-o chan-ter a-vec moi en du-o
Sur le ba-teau blanc ce-lui de nos rê-ves d’en-fant si loin
Si loin
Si loin
Si loin-