Quand on a que l’amour
version Dalida slow
Quand on n’a que l’a-mour
A s’of-frir en par-tage
Au jour du grand vo-ya-ge
Qu’est no-tre grand a-mour
Quand on n’a que l’a-mour
Mon a-mour toi et moi
Pour qu’é-cla-tent de joie
Chaque heure et cha-que jour
Quand on n’a que l’a-mour
Pour vi-vre nos pro-messes
Sans nulle au-tre ri-ches-se
Que d’y croi-re tou-jours
Quand on n’a que l’a-mour
Pour meu-bler de mer-veilles
Et cou-vrir de so-leil
La lai-deur des fau-bourgs
Quand on n’a que l’a-mour
Pour u-ni-que rai-son
Pour u-ni-que chan-son
Et u-ni-que se-cours
Quand on n’a que l’a-mour
A s’of-frir en pri-ère
Pour les maux de la ter-re
En sim-ple trou-ba-dour
Quand on n’a que l’a-mour
Pour ha-bil-ler ma-tin
Pau-vres et ma-lan-drins
De man-teaux de ve-lours
Quand on n’a que l’a-mour
A of-frir à ceux-là
Dont l’u-ni-que com-bat
Est de cher-cher le jour
Quand on n’a que l’a-mour
Pour tra-cer un che-min
Et for-cer le des-tin
A cha-que car-re-four
Quand on n’a que l’a-mour
Pour par-ler aux ca-nons
Et rien qu’u-ne chan-son
Pour con-vaincre un tam-bour
A-lors sans a-voir rien
Que la for-ce d’ai-mer
Nous au-rons dans nos mains,
A-mis le monde en-tier-