Rien ne dure
Pascal Obispo variété
Rien ne dure
Neuf mois puis rien n’est sûr
Ac-né, pre-miers bai-sers
Com-bien de temps d’a-mour à par-ta-ger?
Rien ne dure
Des pas-sions, des se-crets
Ne restent que des re-grets
C’est comme ça, on s’y fait
On n’a pas l’temps d’frei-ner
Que la Porsche de James Dean s’en-vole en fu-mé-ée
À toute al-lure beau-té, gloire, a-po-gée
Dans cette course ef-fré-née
Et ce bleu qu’il reste à par-ta-ger
Tout se meurt a-vant la vie d’a-près
Pour nous sim-ples mor-tels
Tout chan-ge sous le ciel
Ou a-lors il fau-drait
Pou-voir s’ré-in-car-ner
Quand la Porsche de James Dean s’en-vole en fum-é-ée
S’en-vole en fu-mé-ée
Rien ne dure
Même a-vec son ar-mure
Ser-ments, fi-dé-li-té, dou-ceur
Fi-nissent par une lame dans le cœur
Li-ber-té, cen-sure, dic-ta-ture, op-pri-més
Au-cune guer-re mon-diale
Ni pro-to-cole de pai-aix
En-sem-ble re-tom-ber
Et la Porsche de James Dean s’en-vole en fu-mé-ée
Hey!
S’en-vole en fu-mé-ée, oh-oh
D’i-ci jus-qu’à l’es-t d’E-den
L’en-fan-ce qu’on se traîne
Fred-dy, John-ny, Co-bain
Même si ça te fait de la peine
En at-ten-dant que la lu-mière s’é-teigne,
I-doles, muses et mu-sées
Les bo-lides en a-cier
C’est juste pour pa-tien-ter
Et pour faire des cli-chés
Quand la Porsche de James Dean s’en-vole en fu-mé-ée
Hey!
S’en-vole en fu-mé-ée
Oh oh
Rien ne dure
Les chan-teurs et leurs bles-sures
Mais quand tu’es con-tre moi
Tout peut en-core ar-ri-ver
Tout peut en-core ar-ri-ver-