Si j’osais
Les frangines slow
Ah si seul’-ment j’a-vais pu te dire
C’que j’a-vais sur le cœur
Pu te-nir les pro-pos qui ré-sonnent à l’in-té-rieur
Les mots qu’on chu-chote sur le pas d’u-ne por-te
Ah si seul’-ment je m’é-tais rap-pe-lé
Que la vie n’a pas de temps pour les re-grets
Ah si j’a-vais eu l’au-dace
Des plus grands com-bat-tants
J’au-rais con-quis ton âme
Oh mon a-mant j’au-rais
J’au-rais fais tout ce-la
Et bien plus en-core
Je t’au-rais dis je t’aime
Jus-qu’aux au-rores
J’au-rais bri-sé le verre de mon si-lence
Je l’au-rais fa-çon-né dans un mur de faï-ence
Ça pa-raît si fa-cile po-sé sur ce pa-pier
Ça pa-raît si fra-gile
Ah si seul’-ment j’a-vais pu te dire
C’que j’a-vais sur le cœur
Pu te-nir les pro-pos qui ré-sonnent à l’in-té-rieur
Les mots qu’on chu-chote sur le pas d’u-ne porte
De-puis tu es par-ti et je suis res-té là
Sur le pas de la por-te à at-ten-dre quoi
Les re-grets les re-mords non ce n’est pas pour moi
On fi-ni-ra tous mort a-lors
A-lors j’au-rais con-quis ton âme
Oh mon a-mant j’au-rais
J’au-rais fais tout ce-la
Et bien plus en-core
Je t’au-rais dis je t’aime
Jus-qu’aux au-rores
J’au-rais bri-sé le verre de mon si-lence
Je l’au-rais fa-çon-né dans un mur de faï-ence
Ça pa-raît si fa-cile po-sé sur ce pa-pier
Ça pa-raît si fra-gile
Si seul’-ment j’o-sais te dire
Si seul’-ment j’o-sais te-nir
Les dis-cours qui me hantent qui m’en-taillent qui me-nacent
Mon pauvre a-mour ma faible au-dace
Et si j’o-sais
Et si j’o-sais
J’au-rais con-quis ton âme
Oh mon a-mant j’au-rais
J’au-rais fais tout ce-la
Et bien plus en-core
Je t’au-rais dis je t’aime
Jus-qu’aux au-rores
J’au-rais bri-sé le verre de mon si-lence
Je l’au-rais fa-çon-né dans un mur de faï-ence
Ça pa-raît si fa-cile po-sé sur ce pa-pier
Ça pa-raît si fra-gile
J’au-rais con-quis ton âme
Oh mon a-mant j’au-rais
J’au-rais fais tout ce-la
Et bien plus en-core
Je t’au-rais dis je t’aime
Jus-qu’aux au-rores-
