Siffler sur la colline
Joe Dassin baïon, variété
Je l’ai vu près d’un lau-rier, elle gar-dait ses blan-ches bre-bis
Quand j’ai de-man-dé d’où ve-nait sa peau fraî-che elle m’a dit
C’est d’rou-ler dans la ro-sée qui rend les ber-gè-res jo-lies
Mais quand j’ai dit qu’a-vec elle je vou-drais y rou-ler aus-si
Elle m’a dit
Elle m’a dit d’al-ler sif-fler là-haut sur la col-line
De l’at-tendre a-vec un pe-tit bou-quet d’é-glan-tines
J’ai cueil-li des fleurs et j’ai sif-flé tant que j’ai pu
J’ai at-ten-du, at-ten-du, elle n’est ja-mais ve-nue
Laï laï laï laï
Laï laï laï laï
Laï laï laï laï
Laï laï laï laï
A la foi-re du vil-lage un jour je lui ai sou-pi-ré
Que je vou-drais être une pom-me sus-pen-due à un pom-mier
Et qu’à cha-que fois qu’elle pas-se elle vienne me mor-dre de-dans
Mais elle est pas-sée tout en me mon-trant ses jo-lies dents
Elle m’a dit
Elle m’a dit d’al-ler sif-fler là-haut sur la col-line
De l’at-tendre a-vec un pe-tit bou-quet d’é-glan-tines
J’ai cueil-li des fleurs et j’ai sif-flé tant que j’ai pu
J’ai at-ten-du, at-ten-du, elle n’est ja-mais ve-nue
Laï laï laï laï
Laï laï laï laï
Laï laï laï laï
Laï laï laï laï
Oh oh, oh oh
Oh oh, oh oh
Elle m’a dit d’al-ler sif-fler là-haut sur la col-line
De l’at-tendre a-vec un pe-tit bou-quet d’é-glan-tines
J’ai cueil-li des fleurs et j’ai sif-flé tant que j’ai pu
J’ai at-ten-du, at-ten-du, elle n’est ja-mais ve-nue
Laï laï laï laï
Laï laï laï laï
Laï laï laï laï
Laï laï laï laï
Oh oh, oh oh
Oh oh, oh oh
Oh oh, oh oh
Oh oh, oh oh-