Superficiel et léger
France Gall variété
On nous dit sage, on nous dit change, on nous dit bouge.
As-sez d’i-mages, as-sez de rage, as-sez de rouge.
Il faut vivre a-ve-e-ec
Les i-dées qu’on s’en fai-ai-ait.
Il fau-drait naî-aître
Su-per-fi-ciel et lé-ger.
Comme on vou-drait cer-tains soirs
Pou-voir un peu ou-bli-er les fils de notre his-toi-oire.
Comme un bé-bé vient au monde, re-de-ve-nir fra-gi-ile.
Su-per-fi-ciel et et lé-ger-er
Comme cet oi-seau des î-îles
Qui dé-ploie ses ailes, plane et des-cend sur la mer
Si belle, si belle, in-fi-ni-ment lé-gè-ère.
Ce par-fum d’é-ther, ce par-fum d’é-ther
Ce par-fum d’é-ther, ce par-fum d’é-ter-ni-té
Quel-qu’un nous em-poi-son-né-é-é-é-é-é
On nous dit fou, on nous dit ose, on chan-ge tout.
As-sez d’o-rages, as-sez d’é-crans, as-sez de bouts.
Il faut vivre a-ve-e-ec
Les i-dées qu’on s’en fai-ai-ait.
Il fau-drait ê-être
Su-per-fi-ciel et lé-ger.
Comme on vou-drait cer-tains soirs
Pou-voir un peu ef-fa-cer le poids de nos mé-moi-oires.
Hmmmmm, in-sen-sible au pas-sé-é, in-vi-sible au ra-dar.
Su-per-fi-ciel et et lé-ger-er
Dans la dou-ceur du soi-oir.
Comme ces oi-seaux des villes qui des-cendent vers la mer
Si belle, si belle, pour ou-bli-er l’hi-ve-er.
Ho, ho, ye-aaaahh.
Quelle i-dée d’en-fer, quelle i-dée d’en-fer
Quelle i-dée d’en-fer, quelle i-dée d’en-fer-mer tout
Tout ce qui e-xiste en nou-ou-ous.
Il fau-drait être, il fau-drait naître,
Su-per-fi-ciel et lé-ge-er.
Tap ta la ta la ta
Il fau-drait être, il fau-drait naître,
Su-per-fi-ciel et lé-ge-er.
Nah, nah, nah, nah, nahhhhhhhh.
Nah, nah, nah, naaahh.-