Tous les bouquets se fanent
Frank Mickael slow
Je sais tout part et re-vient
Même les cha-grins qu’on cro-yait é-teints
Le feu brû-le dans ses cendres
Et peut bien re-prendre au pe-tit ma-tin
Je sais que tout les na-vires dé-rivent
Et cha-virent le coeur des ma-rins
Mais je n’i-ma-gi-nais pas que vi-vre sans toi
C’est vi-vre pour rien
Tu pars tu me con-dam-nes
Et j’ai mal quand tu me dis
Tous les bou-quets se fa-nent
Les fleurs du mal aus-si
Tu i-gno-res mes lar-mes
Tu par-les et me re-dis
Tous les bou-quets se fan-ent
Les fleurs se meurent par-fois d’en-nui-i-i
Tous les bou-quets se fan-ent
Même les fleurs du mal se fanent aus-si
Tu es comme les en-fants
Comme les oi-seaux blancs
Tu vou-drais t’en-vo-ler
On peut lar-guer les a-marres
Ja-mais la mé-moire ne peut s’ef-fa-cer
C’est vrai qu’on cher-che tou-jours
L’im-pos-sible a-mour qui pa-rait si loin
Mais je n’i-ma-gi-nais pas
Que vi-vre sans toi c’est vi-vre pour rien
Tu pars tu me con-dam-nes
Et j’ai mal quand tu me dis
Tous les bou-quets se fa-nent
Les fleurs du mal aus-si
Tu i-gno-res mes lar-mes
Tu par-les et me re-dis
Tous les bou-quets se fan-ent
Les fleurs se meurent par-fois d’en-nui
Tu pars tu me con-dam-nes
Et j’ai mal quand tu me dis
Tous les bou-quets se fa-nent
Les fleurs du mal aus-si
Tu i-gno-res mes lar-mes
Tu par-les et me re-dis
Tous les bou-quets se fan-ent
Les fleurs se meurent par-fois d’en-nui
Tu pars tu me con-dam-nes
Et j’ai mal quand tu me dis
Tous les bou-quets se fa-nent
Les fleurs du mal aus-si
Tu i-gno-res mes lar-mes
Tu par-les et me re-dis
Tous les bou-quets se fan-ent
Les fleurs du mal du mal aus-si-