Tu t’en vas
Alain barrière et Noëlle Cordier slow
Tu t’en vas
Et dans mon cœur non ce n’est rien
Que quel-ques se-maines à s’at-ten-dre
Tu t’en vas
Mes joies mes rê-ves sont pour toi
Im-pos-si-ble de t’y mé-pren-dre
Tu t’en vas
Et notre a-mour nous ap-par-tient
Nul ne sau-rait nous le re-pren-dre
Tu t’en vas
L’é-loi-gne-ment ai-de par-fois
A mieux s’ai-mer mieux se com-pren-dre
Tu t’en vas
Comme un so-leil qui dis-pa-raît
Comme un é-té comme un di-man-che
J’ai peur de l’hi-ver et du froid
J’ai peur du vi-de de l’a-bsen-ce
Tu t’en vas
Et les oi-seaux ne chan-tent plus
Le mon-de n’est qu’in-dif-fé-ren-ce
J’ai peur de toi j’ai peur de moi
J’ai peur que vien-ne le si-len-ce
Laï laï la laï la la la laï laï laï la
Tu t’en vas
Et dans mon cœur non ce n’est rien
Rien qu’un dé-part sans im-por-tan-ce
Tu t’en vas
C’est mon cœur tu le sais bien
Qu’un ca-pri-ce de l’e-xis-ten-ce
Tu t’en vas
Le temps l’es-pa-ce ne sont rien
Si tu me gar-des ta con-fian-ce
Tu t’en vas
Cha-que ma-tin qui vient tu sais
Pour-tant qu’en-fin tout re-com-men-ce
Tu t’en vas
Je res-te là seul et per-du
Comme aux pi-res heures de l’en-fan-ce
J’ai peur de l’hi-ver et du froid
J’ai peur du vide et de l’ab-sen-ce
Tu t’en vas
Sou-dain pour moi tout s’as-som-brit
Le mon-de n’est qu’in-co-hé-ren-ce
J’ai peur de toi j’ai peur de moi
J’ai peur que vien-ne le si-len-ce
Laï laï la lïa la la la laï laï laï la
Laï laï la laï la la la laï laï laï la-
