Une petite larme m’a trahi
Claude François slow
U-ne pe-ti-te lar-me m’a tra-hi-i-i
En me ren-dant ri-di-cule à tes yeu-eu-eux
Je cro-yais pour-tant bien jou-er la co-mé-di-ie
Mais u-ne pe-ti-te lar-me m’a tra-hi
Tu m’as dit que tu veux me quit-ter
Que tu as dé-jà trop sou-vent hé-si-té-é-é
Je t’ai dit que tu pou-vais par-tir
Que ça ne m’em-pê-che-rait pas de dor-mir
Mais
U-ne pe-ti-te lar-me m’a tra-hi-i-i
En me ren-dant ri-di-cule à tes yeu-eu-eux
Je cro-yais pour-tant bien jou-er la co-mé-di-ie
Mais u-ne pe-ti-te lar-me m’a tra-hi
Je t’ai dit de par-tir au-jour-d’hui
Je se-rais plus à l’aise, seul, dans mon li-i-it
Je t’ai dit qu’une au-tre fille m’at-ten-dait
Et même que je ri-rai quand tu par-ti-rais
Mais
U-ne pe-ti-te lar-me m’a tra-hi-i-i
En me ren-dant ri-di-cule à tes yeu-eu-eux
Je cro-yais pour-tant bien jou-er la co-mé-di-ie
Mais u-ne pe-ti-te lar-me m’a tra-hi
J’é-tais sur de gar-der mon sang-froid
Quand tu m’as dis: A-dieu, ne m’en veux pas.
J’ai cri-é: vas-t’en, et que le diable t’em-por-te!
Mais si-tôt, que je t’ai vu pas-ser la porte
Là
U-ne pe-ti-te lar-me m’a tra-hi-i-i
En me ren-dant ri-di-cule à tes yeu-eu-eux
Je t’ai dit elles ont vu tant de cho-ses
D’ail-leurs si plus tard, un jour tu ré-flé-chis
Oui tu sau-ras que je t’ai-mais plus que ma vi-ie
Puis-qu’u-ne pe-ti-te lar-me m’a tra-hi
Oui, puis-qu’u-ne pe-ti-te lar-me m’a tra-hi
Oh, u-ne pe-ti-te lar-me m’a tra-hi
Oui, u-ne pe-ti-te lar-me m’a tra-hi