Vous permettez monsieur ?
Salvadore Adamo tango
Au-jour-d’hui c’est le bal des gens bien
De-moi-selles que vous ê-tes jo-li-es
Pas ques-tion de pen-ser aux fo-li-es
Les fo-lies sont af-faires de vau-riens
On n’ou-blie pas les bel-les ma-niè-res
On de-mande au pa-pa s’il per-met
Et comme il se mé-fie des gour-mets
Il vous pas-se la mu-se-liè-re
Vous per-met-tez mon-sieur
Que j’em-prun-te vo-tre fil-le?
Et bien qu’il me sou-ri-e
Je sens bien qu’il se mé-fi-e
Vous per-met-tez mon-sieur?
Nous pro-met-tons d’ê-tre sa-ges
Comme vous l’é-tiez à notre â-ge
Juste a-vant le ma-ri-a-ge
Bien qu’un mètre en-vi-ron nous sé-pa-re
Nous vo-guons par-de-là les vio-lons
On doit dire en-tre nous on se mar-re
À les voir a-jus-ter leurs lor-gnons
Vous per-met-tez mon-sieur
Que j’em-prun-te vo-tre fil-le?
Et bien qu’il me sou-ri-e
Je sens bien qu’il se mé-fi-e
Vous per-met-tez mon-sieur?
Nous pro-met-tons d’ê-tre sa-ges
Comme vous l’é-tiez à notre â-ge
Juste a-vant le ma-ri-a-ge
Que d’a-mour dans nos mains qui s’é-trei-gnent
Que d’é-lans vers ton cœur dans le mien
Le re-gard des pa-rents s’il re-tient
N’at-teint pas la ten-dresse où l’on bai-gne
Vous per-met-tez mon-sieur
Que j’em-prun-te vo-tre fil-le?
Et bien qu’il me sou-ri-e
Je sens bien qu’il se mé-fi-e
Vous per-met-tez mon-sieur?
Nous pro-met-tons d’ê-tre sa-ges
Comme vous l’é-tiez à notre â-ge
Juste a-vant le ma-ri-a-ge
Juste a-vant le ma-ri-a-ge
Juste a-vant le ma-ri-a-ge